Salut, je suis un homme tout d'abord sérieux et véridique attentionné gentil généreux sympa cool ouvert à toute discussion et surtout très respectueux, suite à une visite sur votre profil qui a retenu mon attention, je souhaite faire plus amples connaissance avec vous, dans l’amitié sincère voir plus si affinités Je vous laisse mon email : benoitroussel1963@gmail.com Bisou amical. Benoit
Généreuses danseuses de prairie dressées sur ses gambettes gainées de beurre et ses pointes rehaussées à l’ail recherchent piano de cuisine pour récital gastronomique. Rince-doigts recommandé pour after voluptueux.
Coeur caramel tenterait bien travers façon salsa, mais s'interroge sur le plat de résistance : porc mignon ou tendre poulet ? Pas de deux autour d'un bar envisageable ...
A Lusitanienne embourbée (a-t-elle attrapé le belon ?):
Vivement intéressé par annonce ostréicole. Aimerais bigorner une fille pas lourde Sans risquer de clamser dans un lit de glaçons. Duel aux couteaux pour taquiner tes alvéoles Et papouilles de tourteaux dans les esgourdes. Très envie d'étriller mon petit ours...in !
Vous me tenez la dragée haute ! J’ai peur de faire une bêtise en vous dédicaçant cette réponse acidulée.
Vous me ferez boire le calisson jusqu’à la lie, j’en ai bien peur. Avec votre museau enfariné et vos papattes de fruits, vous seriez capable de me faire sucrer les fraises. Mon cœur de guimauve s’effrite sous vos chastes coups de langue de chat ! Croquons une pomme d’amour, galopons après la fraise Tagada, escamotons la bergamote, bourlinguons notre berlingot et goinfrons nous de Barbara papa.
Au marin d'Arca(lifour)chons : Sur la plage abandonnée, je me crus-tassée d'en avoir trop pincé pour un homard, mais tes mots-luxes m'irisent de plaisir et déjà je suis prête à tout pour te praire ! Sonner le buccin, jeter mon chapeau chinois par-dessus les oursins, faire la Vénus en coquine.. Oh oui, papouille-moi la portugaise, chatouille-moi l'oursin, titille-moi la branchie et prenons ensemble notre gastropode !
L'invitation à pétrir ton Pain de sucre tombe à pic. Du pain bénit pour un bâtard roulé dans la farine!
C’est vrai que je m’y suis mis tout seul dans le pétrin avec mes sentiments Barb(ar)ouillés, ses petits pains au chocolat amer, ses droits de cuissage et ses tartes à la crème brûlée. Elle m’a collé un pain fatal : mon coeur est en miettes et ma baguette crie famine !
Sur l’autel de la Passion, chère Marquise aux fruits des bois, tu auras donc pas mal de pain sur la planche. A l’Eucharistie de l’Amour, gave-moi d’hosties ramisu, donne-moi tes saints à Honoré, tes miches à pétrir, ta langue au chat et tes gazelles à encorner. Enfournons, une bonne fois pour toutes, le mitron avec la femme du Boulanger !
Sous un croissant de lune, à l’abri des Palmitos, je nous imagine fourniller de mille feuilles et quatre quarts de projets : tailler la biscotte en pointe, décongeler mes chouquettes, truffer le cake aux amandes dorées, enrhumer le baba (cool !), chatouiller le gressin, réchauffer mes marrons glacés et paner le clafoutis de tutti-frutti.
Je serai un amant tendre et fougasse, vif comme l’éclair, ma main sur ton flan, les genoux en compote, la peau marbrée du sable de Copacabana.
Ma mie, si nous allons à Rio, c’est pour y vieillir ensemble … comme deux vieux croûtons, gras comme des loukoums, la brioche exposée au doux soleil brésilien.
A pain perdu qui n'y voit (ma) mie : Bien que je connaisse un peu tes ficelles et que je ne veuille être menée ni au fouée ni à la baguette, tes mots de galopin d'épices sont tellement choux que j'en suis baba. Alors tant pis si tes amours sont fougasses et si je risque un petit four. Pour toi, je suis prête à faire six boulettes ! Emmène-moi tout de suite en barquette à Rio, tu ne seras pas chocolat ! Je t'étourdirai dans une farandole de douceurs et danserai sans bas mais avec talent aiguille pour te faire monter là-haut. Tu seras mon minet citronné, je serai ta mie (pas) nette et toi et moi, on se sortira enfin de la panade. Toutefois, oublie la fleur d'oranger, je n'ai pas le foie dévôt.
Estomac barbouillé d'un trop plein de sucreries miels et enfarinades énamourées, se demande si les plaisirs salés ou de simples légumes frais au bon goût existent encore sur le marché...
Mes potes âgés m’amènent une gourmette pour soulager ses mots d’estomac Me refilant sans vergogne la patate chaude sans même un radis en poche. Sa panse ment et son cœur saigne : je soupçonne un abus de bidoche. « Ne ramène pas ta fraise, je suis végétarienne », me dit-elle sur un ton las.
Même à fleur de pot, je ne peux la renvoyer sur les roses ; elle va finir par prendre racine. « Me raconterait-elle des salades ? Me prendrait-elle pour un cornichon ? » Je doute… Ce serait la fin des haricots si elle me laissait ainsi pédaler dans la choucroute. Ici on est pourtant soigné aux petits oignons, surtout quand on est une gourgandine.
En pleine purée de pois, je la vois soudain devenir rouge comme une tomate. Ce n’est pas beau de menthe ire, elle est en fait allergique aux aromates. Ail, ail, ail ! Carotte ou bâton ? Je lui propose une course à l’échalote.
Elle renâcle: « Arrête de me presser le citron ! Je ne suis pas dure de la feuille ! » « C’était une plaisante-riz, j’ai horreur de faire le poireau » ajoute-t-elle en un clin d’œil. Avec une fille pareille, je tournerais même un navet : elle est trop chou et assez rigolote.
@ amateur d'aromates, en serre ou sur lit, Anna Russian offrirait son coeur en fleur à basilic pourvu d'une tige bien verte. Se méfier des effets miroirs et de l'animal qui sommeille en soi :)
Fines tranches de mozzarella di bufala recherchent son Anna Russian thaumaturge pour insertion voluptueuse et résurrection buccale. S’adresser à Gourmette pour l’assaisonnement quatre saisons.
Cornichon étourdi par longue baignade piquante recherche Colonel Moutarde pour pimenter ses enquêtes et ac-câpre-arer son attention. Rendez-vous à Piccadilly Circus aux amateurs qui voudraient bien se mêler de ses oignons.
Petit chef très affirmé ch. petite main très très souple pour mettre sa salade à toutes les sauces. Financier de haut vol serait gâterie accueillie à bras ouverts.
PETITE MAIN AGILE EQUIPEE EN BATTEURS ET EN FOUETS TE PROPOSE UNE SEANCE EN LIVE DE DEGUSTATION, main à la pâte nécessaire pour obtenir gâterie pas seulement financière, suivi professionnel assuré
joli museau (de porc) cherche langue (de boeuf) bien pendue et souple pour un tête à tête sans veau, queue acceptée, et pour la fin, pas la peine d'en faire un fromage !
Pour qui te prends-tu homard chéri ? Et d'abord serais-tu breton pour imaginer qu'une crevette frétillante élevée dans un parc en Asie puisse t'aider ? La pauvre doit fantasmer. Je parie qu'elle n'a jamais vu de homard, sauf à la télé. Cher Homard mort, ma flamme aquatique te ressuscitera à condition d'avoir une idée de tes charmes pinçants.
Justicier prodigue cherche douceurs pour nourrir appétit d'oiseau. Grimpe au plafond assurée si affinité. Bretzel liquide envisageable faute de mieux PS : j'ai dit appétit, pas cervelle !
Homme d'expérience, petit chef ne craint ni dieu ni doigts gourmets ... tout au plus ceux qui passent de sauce en sauce pour placer leur salade. Préférence marquée pour quelques douceurs : fondant, miel fleuri, fruit de la passion... Allergie marquée pour tarte, soufflet et châtaigne.
fatigué de ces saladi salado et autres annonces potagères ou animalières, dignes des menus quatre étoiles. j'ai choisi une femme ni dinde ni tarte . Puis j'ai tenté de l’assaisonner afin de la déguster. mais voilà , elle est devenue rouge ,comme une tomate, et devant ce changement de pigmentation, je n'ai pas su quoi faire. Mon congélateur était plein. Pourriez vous m'aider car il s'agit bien d'un problème culinaire ?
Rouge dis tu ? Soit elle est ultra sensible, soit tu as trop relevé la sauce ... ou alors elle est mure à point. A toi de voir.
Au fait : que vient faire le congélateur dans cette histoire de gamelle ? le froid pourrait ne pas la conserver mais la cuire, la mordre et tuer toute saveur à venir : ce serait dommage, non ?
à l'amie des gourmets, mais comment savoir , justement si trop sensible, je l'aurais choquée, ou si était mûre, quant à la sauce..., il faut revoir peut être les ingrédients ? le congélateur ? eh bien pour conserver nos sentiments, même si les chairs perdent un peu d’élasticité, je suis , je vous l'avoue un peu ignorant.
vade mecum pour homme désespéré : Si elle est ours mal léché, un peu de miel - de fleurs, surtout pas d'acacia aux longues épines - devrait t'aider à l'apprivoiser Si elle est dans sa coquille de fille des océans il te faudra devenir expert en bain : trop long et elle perdra son essence et sa saveur, trop court et elle sera dure Si elle est sauvage,il te faudra choisir les plantes aromatiques adaptées à sa nature et sans doute oser la faire mariner pour assouplir son tempérament D'un tempérament sanguin ? l'oindre gentiment d'une huile parfumée, la masser avec précaution et tendresse pour qu'elle te délivre ses meilleurs sucs Si elle est juste nature, un peu de sel devrait suffire, mais attention : à trop en verser cela deviendrait indigeste ... surtout pour elle Bonne pâte, il te faudra l'effleurer, la pétrir, puis la laisser reposer avant de la lever Bonne poire, une seule solution : l'enivrer de paroles fluides et limpides, surtout pas troubles Petit chou, tu pourrais la fourrer : mais seulement au parfum qu'elle aura choisi, sinon, ce n'est pas drôle et tu serais chocolat.
A petite sirène : Ton chant me fait rougir, me voilà chaud bouillant ! Attends-moi, je plonge ! Viens, nageons ensemble sous les étoiles, nuit et jour, à l'américaine. Crois-moi, je ne cherche pas à te prendre dans mes mailles aux niaises !
c'est mignon, une 'tite crevette toute rose adossée à son homard chéri sur fond d'embruns au soleil couchant. Lui donne la sauce, elle adore les agrumes, ils aiment les bains : que demander de plus ?
chère amie, si c'est si compliqué, je vais laisser tomber. j'ai une question cependant, et j'espère qu'elle n'est pas indiscrète : comment faites vous , chère amie, pour cuisiner les hommes !
ande asperge - yeux en neige, coupe au bol, et cœur de palmier - adepte des chauds bouillons, cherche une poule ou une dinde à farcir, voire même une belle cuisse de canard ou un coq en pattes, pour passer à la casserole. Sauce blanche garantie.
Boucher à la reine - poivre et seul, yeux noisette, oreilles en chou-fleur - recherche poulette royale et zélée pour lui volailler dans les plumes et ébarbarer son sot-l’y-laisse. Sauce rouge à prévoir.
Orphelin de Nadia (et Barbara), adorable Titeuf recherche son mime aux amateurs de disparition pour comparer leur crâne d’œuf et enquêter sur les blancs qui existent entre eux.
A Mat et Psst : En effet, je suis moi aussi un maître-queue, mais entre la queue et le coeur, il n'y a souvent que l'R qui varie. Quant à ma cervelle, elle n'a pas sa place ici, car ma queue a ses oraisons que la raison etc. Et puis, j'ai aussi mes pinces de fer qui cachent une chair de velours. Qui saura faire exploser ma carapace et deviner qui se cache vraiment dessous ?
Prendre une homme à carapace, qu'il soit homard ou dormeur, qu'il pince ou biaise, Attendre qu'il mue (de lui même) Le voir à nu Le caresser, le cajoler, le rassurer peut être aussi, Etre sa seconde peau pour bien le protéger... Lui faire confiance et se laisser aller
Ingrédients : une pintade, un chou frisé, de la poitrine, quelques Chérie, du sel, du poivre, de la crème … beaucoup de chaleur et un peu de patience.
Choisir la pintade à son goût, mais pas trop sèche. Enlever le film protecteur s’il y a lieu. Masser avec délicatesse sa peau d’une huile parfumée et laisser pénétrer. Cette étape est fondamentale. Effeuiller un chou frisé encore vert. Veiller à ce que la poitrine soit moelleuse et parfumée. Agrémenter de Chérie sans trop exagérer. Déposer la pintade en crapaudine sur le tout. A ce stade, faire attention à ce qu’elle ne vous glisse pas des mains. Mettre un peu de sel pour en relever l’esprit, de poivre pour pimenter la suite. Ajouter une giclée de crème fraiche, plusieurs si vous êtes sans retenue, chauffer, enfourner et attendre le changement de couleur. Au moment voulu, prendre quelques morceaux choisis, fermer les yeux, laisser les saveurs exploser en bouche et jouir de l’instant.
A l'amie des gourmets, Ah je vois, tu me trompais donc avec tes conseils fallacieux ! tu osais me proposer des leçons de cuisine pour attendrir les chairs et les coeurs féminins, leçons très inutiles si tu ne sais pas cuisiner les hommes!Je vais demander à cette grande asperge de Barbara, si elle daigne lire mes appels sans style !
A homme désespéré, Cher ami, option virage volage et vorace en faveur d'une grande légume pour mieux sauter dans sa poele à gratter ?
Que veux tu : je ne "cuisine" pas un individu que je respecte, tout au plus je le fais revenir, l'accomode, l'agrémente, l'épice, l'attendris ... le cas échéant.
Mat et Pssst présentent leurs sincères excuses à Homard chéri. Promis, ils s'abstiendront dorénavant de toute crudité et assaisonnement à l'emporte-pièce
Vache qui rit pasteurisée par on ne sait quel caprice des Dieux s’est vu confier la mission d’évangéliser les olés crus pour redonner un peu de tenue aux pattes molles des vaches folles. Si tu es intéressé, inutile d’en faire des tommes : un bri de mot suffira. PS : possibilité de globalisation et monts d’or garantis.
Chère amie dégourmée, tu es un peu dévorante mais ton menu ne manque pas de raffinement. Alors d'accord, mets-moi à toutes les sauces, apprête-moi avec goût(car je suis un homme-art !)é-pattes-moi, décarcasse-moi, oui mais oh ! Pas trop vite ! Sache me désirer, m'imaginer, te pourlécher ! Et puis... me déguster.
Injustement accusé par un crustacé à fort accent portugais d'un crime que je n'ai pas commis et assailli par les sirènes policières, j'ai résolu de fuir du côté de la Grèce pour y vivre des amours purement planctoniques et néanmoins homariques car je ne veux pas crevette dans un casier ! Doux rêveur, je t'attends !
je ne crois pas que nous ayons été présentés : moi, animal à sang chaud, ouverte et à valeurs érotico-culinaires élevées, récemment larguée par homme désespéré en chasse de légumes fins. Et toi ? prédateur à sang froid en couple avec crevette agile et frétillante ou bien petite sirène qui ne demande qu'à être pincée ? Je suis perplexe et crains la couille dans le potage : ce serait fâcheux, et ne voudrais pas te mettre dans le pétrin... :D
Je suis le PRESIDENT, à ce titre , les journalistes m'adorent, je suis leur pâte molle, et ils ont de l'appétit car grâce à moi, ils vendent leurs salades médiatiques, je suis leur fromage, et toi, si tu voulais être ma cerise, croquante et juteuse, pulpeuse, nous pourrions faire un couple culinaire! Respectueusement votre
Recette pour défilé de haute-cuisine : Prendre quelques pommes de terre à chair bien fermes et leur passer une robe des champs. Elles tenteront de résister en vous racontant des salades : ne vous laissez pas impressionner et n’y allez pas avec le dos de la cuiller, elles n’en perdront pas la frite pour autant. Prendre cent yeux de merlans frits et les réchauffer à chaleur tournante, à pleine puissance. Il se peut que le poisson soit dur à cuire, auquel cas faites le mijoter encore un peu dans son jus. Sortez la truffe et laissez-vous alors guider par votre flair pour juger de votre réussite. Enfin, appuyez sur le champignon pour allonger la sauce. C’est prêt, et vous avez maintenant une faim de loup ! Cependant, n’oubliez pas qu’il vous faudra défiler avec cette chère exquise afin d’en recevoir les compliments, et par conséquent vous serrer la ceinture. Vous pouvez néanmoins vous reposer sur vos lauriers pour enlever l’amertume.
oh barbara, mais à vous lire, je me pâme déjà à l'idée de vous proposer dans mon prochain gouvernement un haut poste, celui de la défense de l'art littéraire. impossible depuis cet email de me reposer sur mes lauriers, j'ai même envie de descendre au plus vite dans mon jardin pour y cueillir du romarin... vous chatouillez mes bourgeons de poète. Quelle clairvoyance électorale,vous avez ! Je vais faire de la purée et écraser ces patates. Et ne croyez pas que je sois pâte à me la couler douce, les merlans frits avec la chaleur, seront bientôt immangeables. Pas question de laisser à une marinade prochaine, les arêtes du pouvoir. Vos prochaines recettes seront validées au journal officielle de la cuisine présidentielle. Votre Président bien aimé
ma mie, j'ai une cervelle d'oiseau et un coeur d'artichaud, mais ce serait bien doux d'imaginer quelques mouillettes improvisées,mais pas à la cuisine du Sofitel, car j'imagine que tu as déjà un répertoire lexical bien trempé pour que nous vocalisions dans mon nid, des annonces de cuisine tropicale ! qu'en dis tu, ma mie
Cher serin volatile : J'étais toute prête à t'effeuiller l'archi-chaud dans ton nid d'hirondelle délicieusement potache, mais je mitonne de constater que tu te laisses aussi absorber le suc par Mie Câline ! Décidément avec toi, on ne peut qu'être mi-fugue, mi-résignée.
Pâte pressée s'allierait volontiers à cerise noire pas trop confite Pâte molle succomberait sans hésiter à noix (de Grenoble de préférence), Et pour son premier essai, bleu fleuri se marierait à petite poire moelleuse Contacter gourmand-gourmet.com
cher volatile, tendresse acquise pour un rare dodo, un oiseau de paradis ou un cordon bleu (à joue rouge) ; exclue pour un vague coucou ou un serin à mie-dînette exclusive ; essai à tenter pour zizi bruyant avant de conclure. Que veux tu ... j'aime assez prendre les choses en mains, et vice versa
mie câline et mie dînette, quand il y en a pour deux, y en a pour trois, certes on peut toujours tomber du nid. Personnellement, je veux bien me faire plumer, au point où j'en suis, me faire dévorer aussi, n'étant pas prédateur de naissance. Et puis, je fais la vaisselle aussi, et là, suis je encore au menu, j'ai entendu dire qu'on préférait les vautours???
A mie câline : Faisons à mie amies plutôt que de jouer à pince-mie et pince-moi. Ce drôle d'oiseau vaut(dé)tour, à tour de drôle ou ensemble, surtout s'il fait la vaisselle. Alors on se lance dans la poli-gars-mie ?
A Mie-Dînette, OK pour partager les délices d'un crâne d'oeuf pas trop obtus, mais de toi à moi, je m'en bats la mie qu'il fasse la vaisselle, sait il seulement dénouer l'aiguillette et dresser la table avec délicatesse ?
Mie-Dînette, Estomac barbouillé et valeurs en berne, je me retire avant la farandole des desserts. Qu'il soit serin, oiseau de basse cour ou dindon de la farce, je ne puis me résoudre à croquer le marmot sans qu'il ait son mot à dire. A deux contre un, la balance semble peu équitable, ma mouillette improvisée vire aux imams évanouis et profite et rôles peu flatteurs s'ouvrent à mon coeur défendant.
Grain de riz sauvage accompagnerait volontiers souris au tendre gigot pourvu qu'en elle tout sourie. Du curry parfumé oserait le colori si elle lui demandait, et plus encor pour ne pas être marri.
Ravie de faire partie de votre gouvernement et de promouvoir la défense du lard littéraire. Cependant, je dois vous mettre en garde : en tant que vache - même riante - je crains d’occuper plusieurs sièges à l’assemblée. Pas grave, mon avis pèsera plus lourd dans la balance, et nous pourrons plus aisément tirer la sonnette d’alarme avant que les carottes ne soient cuites. De plus, vous avez tout compris, c’est de la viande fraîche qu’il vous faut car il y a du pain sur la planche pour éradiquer les bonnes poires, les fruits pourris jusqu’au trognon, et autres légumes mous du bulbe. Nous pourrons en faire une grande fondue monétaire internationale et nous délecterons ainsi des fromages et intérêts. Objectif : devenir les plus riches en matières grasses !
Manquent quelques cibles à notre belle vachette pour faire son ragout électoral : conservateurs en tout genre, sauces à poison, sans compter de fumeuses huiles pour marquer les liaisons contre nature ou les flans décorés de chantilly lubricitueuse "vraiment ... tout cela n'est pas sérieux, surout pour ceux qui - comme moi (et ils sont nombreux) sont attachés aux valeurs de la vraie cuisine érectorale"
Chère Barbara, Cher Président, Alors adieu poireaux bien dressés, courges enflées, carottes mutines, concombres en folie, Chéries à déguster, Cornue des Andes, figues juteuses, abricots moelleux, sucres d'orge au top, tablettes de chocolat et autres délices qui enchantent le palais ? je me meurs
Chère ministre de la haute culture Barbara, une vache rieuse à l'Assemblée, je m'en réjouis, elle donner quelques coups de sabots bien mérités à ces pieds nickelés qui me caressent et me broutent , et puis je vais rire de les voir tenter de vous tirer les pis, lourd de fiel à leur égard, ils tenteront de vous mettre au pré....
Figurez-vous que je suis copine comme cochon avec les conservateurs en tous genres ; de même avec les adjuvants, les cols au rang et les bananes en chemises ; en revanche, les cravates au lait de coco, très peu pour moi. N’oubliez pas que je suis pasteurisée, je combats le côté obscur de la corse, bien trop malodorante à mon goût. Nous redevenons des sauvages, et la civilisation a besoin d’un coup de fouet pour combattre le bio à l’arôme antique qui cherche à nous rouler dans la farine ! Aujourd’hui, tout va d’animal en pis, ce qui est bien trop terre-à-terre. Visons plutôt les paradis artificiels !
Mademoiselle Barbara, Votre programme me souffle : vous avez su toucher la corde sensible. Je m’imagine déjà batteur équipé de fouets tout dernier cri à fourailler les dits oeufs qui me décalottent à l’envie dans les jardins de l’Elysées, me gonflent de tartes, macarons et beignets en tous genres à l’Assemblée, dégoulinent de cons en friture qui attendent que je leur serre la papatte tels des toutous en guimauve molle. Si vous saviez comme j’en bave à vouloir séduire sans cesse la moule à force de régimes bananiers ! Un seul obstacle à notre état de graisse : je crois bien que j’ai laissé un lardon dans le buffet de ma cocotte. Artificellement vôtre
allons petit nicolas; fouettez cette engeance crémeuse au sang, n'en faites pas une salade Déjà que la pourriture est en train de gagner la cuisine présidentielle, donnez les bonnes méthodes pour faire une vraie crème renversée, afin de retrouve le bon sens démocratique, car feuilles de chou ne valent plus rien !
Fred, quelle annonce musicale ! ta promesse d'enchanter mon palais me séduit, et je chanterai haut et fort, si tu pianotes une partition épicée capable de relever la sauce ! donne moi juste le thon !
petite fleur immortelle n'a pas son pareil pour agrémenter les jours et les nuits de ceux qui ont besoin d'agréments mais que vais-je devenir si je me livre à des salaisons ?
A Rossignol Puisque tu le souhaites, mon piano dansera pour toi ; d'épices exotiques te parfumerai,avec art te relèverai. Lentement mes doigts d’artiste consommé te déshabilleront pour mieux te savourer. Avec comme point d’orgue un opéra.
A cuisinier révolutionnaire, Camarade, te propose grande bouffe sans chichi ni salade, sauce hollande ou royale au besoin, lardon à l'italienne, niniche à la hongroise avant de savourer les plaisirs rares d'une mise à plat des services de l'état. Et puis si l'envie nous fouaille, pourquoi ne pas ouvrir la valse des étiquettes et diplomates en tout genre, financiers à la noix de coco et autres suceurs de moelle ? Jacquot, ex chef de brigade, un poil toqué
A carré d'agneau : Spaguetti désordonné et curviligne s'entortellinirait bien autour de toi. Aucun problème d'absinthinence, je suis assez salée pour te faire tourner la tête.
Tendre carré, ni obtuse, ni aigue, pas vraiment ronde, mais en formes harmonieuses, une fleur à protéger ou à savourer te siérait-elle ? de son parfum t'enivrerai sans pour autant te donner soif jusqu'hal-la-li(e). Flora Cucurbita Pepo
Très cher, je suis ton canon, al dente, ardente et ravie au lit, et ne dirais pas non à un encas picoti picotant pourvu qu'il ne s'en aille pas tout de suite après avoir levé la queue, car je ne pratique pas la course de "fonds au man-éther". Prenons donc le temps d'incuber pour mieux nous élever !
Passive passoire passionnément pacifique (pas si sûr !) pasteuriserait patiemment - ou pas -une pasta passiflore dans Passat passéiste pour passade passe-partout. Pas de passe-droit pour passagère passible de passing-shot et passerelle sans passeport pour passereaux passablement passionnés de pastèque !
Pasta troppo passionata pour se laisser pasteuriser l'appât par une passoire passant trop vite ! Passe encore une passade dans un palace pas trop salace, mais alors pas de salades ni de pastaga pour s'enlacer et se trousser sans se détrousser à la Kama Sutra.
Tourterelle cherche tournebroche Doté d’un bon tour de main Pour d’un tournemain L’entraîner dans le tourbillon de sa vie Et lui donner sans façon le tournis De tour en tour, De détours en alentours Lui faire sa cour Et pour finir tour à tour Du simple contour au dépôt d’atours Tourte belle cherche bouche en co(e)ur
Gros piment rouge cherche grande poêle à frire pour enflammer la générosité gustative de l'amour et enflammer les coeurs culinaires. Poele tout feux acceptée. Pas besoin de revêtement spécifique non plus. RENDEZ VOUS AU RESTO DU COEUR. REPONSE URGENTE
Pâte à brick, craquante à souhait, cherche Chef le Pat à croquer. Craques acceptées, si - et seulement si - trique et toque sont de bon niveau. s'adresser à croque-en-bouche@cracboumhue.net
Spécial comique, te propose départ pour Cythère via Erythrée, Somalie et autres terres inconnues propices à don de soi... cuisine simple et généreuse exigée. urgence absolue : seras tu au RDV ?
Pourquoi vouloir partir avec comique dans la corne de l'Afrique pour un dernier festin ? La -bas personne ne rit et il y a longtemps que la cuisine du FMI ne fricotte aucune fricassée avec les os et la chair, il manque l'amour à l'intérêt économique des recettes juteuses pour l'économie...Cosmique pourquoi ne pas proposer à Sarko une visite gastronomique pour son futur régime présidentiel ?
Cher(e)? Realitik, à quoi bon les galas et autres festins, cuisines élaborées et raffinées si l'amour d'autrui n'est pas au rendez vous ? Comique prétend au resto du coeur, Cosmique au coeur et au partage avant tout, au-delà des maux. Petit Sarko est embourbé en Afghanistan, en Lybie, qui sait demain en Syrie ... là où l'or est noir, là où l'on découvre soudain que les hommes ont des droits, mais le premier n'est il pas de manger chaque jour ? Qu'avons nous fait de nos surplus, tous, autant que nous sommes, spectateurs de cette tragédie, l'ignorant quand bon nous semble ?
Toutes pourries ? je veux croire qu'il en existe une qui ne soit pas pourrie ni trop gâtée ... juste une, bonne au goût et pour elle, l'attente en vaut la peine.
T'es sûre, Mamie ? La tante Athena en vaudrait donc la peine ! Dis voir, tu serais pas un peu trop poire pour une Reine ? Granny, le cousin germain de Smith, est tombé dans les pommes : "Feta valise faux-frère de grec, rembourse la somme !" Dix visions européennes pour une soupe de trémolos. Idem pour l'oncle Sam : ça sent la fin des haricots. L'attaque de la moussaka géante était pourtant annoncée... (*) Mais non, la famille a préféré gloutonner sans compter. La cuenta, por favor ! Vous prenez les dettes, garçon ? La famine, mi amor ! Vous étalez la faim sur plusieurs générations ? Au banquet du monde, Lagarde meurt mais ne se rend pas. Maman, les petits gâteaux qui sont pas beaux sont-ils à moi ? Mais non, mon gros bêta, si tu as faim, vole ton voisin ! Etats soeurs ? Elle se meurt ... la solidarité, mi-figue mi-raisin.
(*) : L'attaque de la moussaka géante est un film (visionnaire ?) grec sorti en 1999.
OFFRE DE PRÊT D'ARGENT RAPIDE Nous proposons un crédit issu d’un système collaboratif. Vous avez besoin d’un crédit, mais avez- vous du mal à obtenir un emprunt auprès des banques ? Ou aimeriez profiter de conditions plus avantageuses ? Eh bien nous disposons d'un prêt allant de 1500€ à 25.000.000€ avec un taux d'intérêt fixe de 2%. Vous avez besoin de faire un prêt : * Personnels * Financement * Immobilier * L'investissement * Automobile * Dette de consolidation ... Obtenez Votre Crédit est là pour vous aider ! N’hésitez plus et faites une simulation pour trouver la solution crédit adaptée à vos différents besoins. Pour plus d'infos Réponse rapide : ducoeurliliane@gmail.com Personne pas sérieux s'abstenir
Maître-queux cherche sa caille pour tendre grignotage sur canapé
RépondreSupprimerSalut, je suis un homme tout d'abord sérieux et véridique attentionné gentil généreux sympa cool ouvert à toute discussion et surtout très respectueux, suite à une visite sur votre profil qui a retenu mon attention, je souhaite faire plus amples connaissance avec vous, dans l’amitié sincère voir plus si affinités Je vous laisse mon email : benoitroussel1963@gmail.com
SupprimerBisou amical.
Benoit
Généreuses danseuses de prairie dressées sur ses gambettes gainées de beurre et ses pointes rehaussées à l’ail recherchent piano de cuisine pour récital gastronomique. Rince-doigts recommandé pour after voluptueux.
RépondreSupprimerJolie truffe toute fondante et moelleuse, adorerait être emballée par expert es gâteries. Museau aillé s'abstenir.
RépondreSupprimerHuître bivalve un peu écaillée aimerait qu'on la dessale et fasse reluire sa perle avec inceste de citron.
RépondreSupprimerje suis ton homme ! tu ve me contacter ?
SupprimerPetit coeur caramel tout mou, rêve de baisers salés sucrés et d'un sucre d'orge au top pour faire battre son coeur à l'unisson
RépondreSupprimerLongues pattes de grenouille cherchent sauce salsa pour pimenter valse des desserts ...
RépondreSupprimerCoeur caramel tenterait bien travers façon salsa, mais s'interroge sur le plat de résistance : porc mignon ou tendre poulet ? Pas de deux autour d'un bar envisageable ...
RépondreSupprimerA Lusitanienne embourbée (a-t-elle attrapé le belon ?):
RépondreSupprimerVivement intéressé par annonce ostréicole.
Aimerais bigorner une fille pas lourde
Sans risquer de clamser dans un lit de glaçons.
Duel aux couteaux pour taquiner tes alvéoles
Et papouilles de tourteaux dans les esgourdes.
Très envie d'étriller mon petit ours...in !
A Friandise.
RépondreSupprimerVous me tenez la dragée haute ! J’ai peur de faire une bêtise en vous dédicaçant cette réponse acidulée.
Vous me ferez boire le calisson jusqu’à la lie, j’en ai bien peur. Avec votre museau enfariné et vos papattes de fruits, vous seriez capable de me faire sucrer les fraises. Mon cœur de guimauve s’effrite sous vos chastes coups de langue de chat ! Croquons une pomme d’amour, galopons après la fraise Tagada, escamotons la bergamote, bourlinguons notre berlingot et goinfrons nous de Barbara papa.
Alors, tu te caches où, Lajaunie ?
Batterie de casseroles en laid-thon recherche deux ou trois poêles en fonte dénudée pour bruyants orgasmes cunnilingo-culinaires.
RépondreSupprimerFait-tout (ce qu'il te plaît) et chauffe-plat brûlant autorisés.
Passeoires passives et cocottes s'abstenir.
S'adresser à Tefal-lus@tu-penses-à-tout.com
Au marin d'Arca(lifour)chons : Sur la plage abandonnée, je me crus-tassée d'en avoir trop pincé pour un homard, mais tes mots-luxes m'irisent de plaisir et déjà je suis prête à tout pour te praire ! Sonner le buccin, jeter mon chapeau chinois par-dessus les oursins, faire la Vénus en coquine.. Oh oui, papouille-moi la portugaise, chatouille-moi l'oursin, titille-moi la branchie et prenons ensemble notre gastropode !
RépondreSupprimerA Cario Cacao,
RépondreSupprimerL'invitation à pétrir ton Pain de sucre tombe à pic. Du pain bénit pour un bâtard roulé dans la farine!
C’est vrai que je m’y suis mis tout seul dans le pétrin avec mes sentiments Barb(ar)ouillés, ses petits pains au chocolat amer, ses droits de cuissage et ses tartes à la crème brûlée. Elle m’a collé un pain fatal : mon coeur est en miettes et ma baguette crie famine !
Sur l’autel de la Passion, chère Marquise aux fruits des bois, tu auras donc pas mal de pain sur la planche. A l’Eucharistie de l’Amour, gave-moi d’hosties ramisu, donne-moi tes saints à Honoré, tes miches à pétrir, ta langue au chat et tes gazelles à encorner. Enfournons, une bonne fois pour toutes, le mitron avec la femme du Boulanger !
Sous un croissant de lune, à l’abri des Palmitos, je nous imagine fourniller de mille feuilles et quatre quarts de projets : tailler la biscotte en pointe, décongeler mes chouquettes, truffer le cake aux amandes dorées, enrhumer le baba (cool !), chatouiller le gressin, réchauffer mes marrons glacés et paner le clafoutis de tutti-frutti.
Je serai un amant tendre et fougasse, vif comme l’éclair, ma main sur ton flan, les genoux en compote, la peau marbrée du sable de Copacabana.
Ma mie, si nous allons à Rio, c’est pour y vieillir ensemble … comme deux vieux croûtons, gras comme des loukoums, la brioche exposée au doux soleil brésilien.
A pain perdu qui n'y voit (ma) mie : Bien que je connaisse un peu tes ficelles et que je ne veuille être menée ni au fouée ni à la baguette, tes mots de galopin d'épices sont tellement choux que j'en suis baba. Alors tant pis si tes amours sont fougasses et si je risque un petit four. Pour toi, je suis prête à faire six boulettes ! Emmène-moi tout de suite en barquette à Rio, tu ne seras pas chocolat ! Je t'étourdirai dans une farandole de douceurs et danserai sans bas mais avec talent aiguille pour te faire monter là-haut. Tu seras mon minet citronné, je serai ta mie (pas) nette et toi et moi, on se sortira enfin de la panade. Toutefois, oublie la fleur d'oranger, je n'ai pas le foie dévôt.
RépondreSupprimerEstomac barbouillé d'un trop plein de sucreries miels et enfarinades énamourées, se demande si les plaisirs salés ou de simples légumes frais au bon goût existent encore sur le marché...
RépondreSupprimerMes potes âgés m’amènent une gourmette pour soulager ses mots d’estomac
RépondreSupprimerMe refilant sans vergogne la patate chaude sans même un radis en poche.
Sa panse ment et son cœur saigne : je soupçonne un abus de bidoche.
« Ne ramène pas ta fraise, je suis végétarienne », me dit-elle sur un ton las.
Même à fleur de pot, je ne peux la renvoyer sur les roses ; elle va finir par prendre racine.
« Me raconterait-elle des salades ? Me prendrait-elle pour un cornichon ? » Je doute…
Ce serait la fin des haricots si elle me laissait ainsi pédaler dans la choucroute.
Ici on est pourtant soigné aux petits oignons, surtout quand on est une gourgandine.
En pleine purée de pois, je la vois soudain devenir rouge comme une tomate.
Ce n’est pas beau de menthe ire, elle est en fait allergique aux aromates.
Ail, ail, ail ! Carotte ou bâton ? Je lui propose une course à l’échalote.
Elle renâcle: « Arrête de me presser le citron ! Je ne suis pas dure de la feuille ! »
« C’était une plaisante-riz, j’ai horreur de faire le poireau » ajoute-t-elle en un clin d’œil.
Avec une fille pareille, je tournerais même un navet : elle est trop chou et assez rigolote.
mandoline esseulée cherche concombre (à défaut carotte), mangue et papaye à tailler à la mesure de nos envies pour agrémenter soirée tahitienne.
RépondreSupprimerFaute de trouver sa caille, grande asperge cherche petit chou frisé pour accompagner espadon en sucette. Cocotte s'abstenir.
RépondreSupprimer@ amateur d'aromates,
RépondreSupprimeren serre ou sur lit, Anna Russian offrirait son coeur en fleur à basilic pourvu d'une tige bien verte.
Se méfier des effets miroirs et de l'animal qui sommeille en soi :)
Fines tranches de mozzarella di bufala recherchent son Anna Russian thaumaturge pour insertion voluptueuse et résurrection buccale. S’adresser à Gourmette pour l’assaisonnement quatre saisons.
RépondreSupprimerCornichon étourdi par longue baignade piquante recherche Colonel Moutarde pour pimenter ses enquêtes et ac-câpre-arer son attention. Rendez-vous à Piccadilly Circus aux amateurs qui voudraient bien se mêler de ses oignons.
RépondreSupprimerPetit chef très affirmé ch. petite main très très souple pour mettre sa salade à toutes les sauces.
RépondreSupprimerFinancier de haut vol serait gâterie accueillie à bras ouverts.
crevette frétillante cherche homard qui en pince pour mettre au monde tétards
RépondreSupprimerPETITE MAIN AGILE EQUIPEE EN BATTEURS ET EN FOUETS TE PROPOSE UNE SEANCE EN LIVE DE DEGUSTATION, main à la pâte nécessaire pour obtenir gâterie pas seulement financière, suivi professionnel assuré
RépondreSupprimerjoli museau (de porc) cherche langue (de boeuf) bien pendue et souple pour un tête à tête sans veau, queue acceptée, et pour la fin, pas la peine d'en faire un fromage !
RépondreSupprimerA Crevette frétillante : Homard tuer par huître bivalve prêt à ressusciter pour toi sur lit d'algues fraîches. Fais-moi vite tomber dans ta nasse.
RépondreSupprimerA financier,
RépondreSupprimerquitte à la jouer soufflet préférerai option diplomate à gate-sauce pour faire ma cuisine au Beur.
Ecrire à elysees2012.com
Pour qui te prends-tu homard chéri ? Et d'abord serais-tu breton pour imaginer qu'une crevette frétillante élevée dans un parc en Asie puisse t'aider ? La pauvre doit fantasmer. Je parie qu'elle n'a jamais vu de homard, sauf à la télé. Cher Homard mort, ma flamme aquatique te ressuscitera à condition d'avoir une idée de tes charmes pinçants.
RépondreSupprimerpetit chef, je sens que tu crains de te faire décortiquer de mes doigts gourmets ?
RépondreSupprimerJusticier prodigue cherche douceurs pour nourrir appétit d'oiseau. Grimpe au plafond assurée si affinité. Bretzel liquide envisageable faute de mieux
RépondreSupprimerPS : j'ai dit appétit, pas cervelle !
Homme d'expérience, petit chef ne craint ni dieu ni doigts gourmets ... tout au plus ceux qui passent de sauce en sauce pour placer leur salade.
RépondreSupprimerPréférence marquée pour quelques douceurs : fondant, miel fleuri, fruit de la passion... Allergie marquée pour tarte, soufflet et châtaigne.
Bonne pâte, prête à lever, cherche sa krampouz pour cabriole de haut vol.
RépondreSupprimerfatigué de ces
RépondreSupprimersaladi salado et autres annonces potagères ou animalières, dignes des menus quatre étoiles. j'ai choisi une femme ni dinde ni tarte . Puis j'ai tenté de l’assaisonner afin de la déguster.
mais voilà , elle est devenue rouge ,comme une tomate, et devant ce changement de pigmentation, je n'ai pas su quoi faire. Mon congélateur était plein. Pourriez vous m'aider car il s'agit bien d'un problème culinaire ?
Rouge dis tu ?
RépondreSupprimerSoit elle est ultra sensible, soit tu as trop relevé la sauce ... ou alors elle est mure à point. A toi de voir.
Au fait : que vient faire le congélateur dans cette histoire de gamelle ? le froid pourrait ne pas la conserver mais la cuire, la mordre et tuer toute saveur à venir : ce serait dommage, non ?
à l'amie des gourmets, mais comment savoir , justement si trop sensible, je l'aurais choquée, ou si était mûre, quant à la sauce..., il faut revoir peut être les ingrédients ?
RépondreSupprimerle congélateur ? eh bien pour conserver nos sentiments, même si les chairs perdent un peu d’élasticité, je suis , je vous l'avoue un peu ignorant.
vade mecum pour homme désespéré :
RépondreSupprimerSi elle est ours mal léché, un peu de miel - de fleurs, surtout pas d'acacia aux longues épines - devrait t'aider à l'apprivoiser
Si elle est dans sa coquille de fille des océans il te faudra devenir expert en bain : trop long et elle perdra son essence et sa saveur, trop court et elle sera dure
Si elle est sauvage,il te faudra choisir les plantes aromatiques adaptées à sa nature et sans doute oser la faire mariner pour assouplir son tempérament
D'un tempérament sanguin ? l'oindre gentiment d'une huile parfumée, la masser avec précaution et tendresse pour qu'elle te délivre ses meilleurs sucs
Si elle est juste nature, un peu de sel devrait suffire, mais attention : à trop en verser cela deviendrait indigeste ... surtout pour elle
Bonne pâte, il te faudra l'effleurer, la pétrir, puis la laisser reposer avant de la lever
Bonne poire, une seule solution : l'enivrer de paroles fluides et limpides, surtout pas troubles
Petit chou, tu pourrais la fourrer : mais seulement au parfum qu'elle aura choisi, sinon, ce n'est pas drôle et tu serais chocolat.
A petite sirène : Ton chant me fait rougir, me voilà chaud bouillant ! Attends-moi, je plonge ! Viens, nageons ensemble sous les étoiles, nuit et jour, à l'américaine. Crois-moi, je ne cherche pas à te prendre dans mes mailles aux niaises !
RépondreSupprimercherche gâteau. Préférence pour pièce bien montée.
RépondreSupprimerPsssttt : le cerveau du homard, il ne serait pas dans sa queue ?
RépondreSupprimerPet de none cherche sa religieuse pour déflorer grand mystère.
RépondreSupprimerCuré nantais s'abstenir
PS : belle Hélène, par contre ...
A Pssst : tous les gourmets le savent, la meilleure part du homard c'est sa queue, pas sa cervelle, ni sa langue ou son coeur.
RépondreSupprimerA moins que l'animal n'en cache un autre ...
Qu'en pensez-vous Cerise, Agnés, Friandise et tutti fruit ?
N'en déplaise aux importuns
RépondreSupprimerc'est mignon, une 'tite crevette toute rose adossée à son homard chéri sur fond d'embruns au soleil couchant. Lui donne la sauce, elle adore les agrumes, ils aiment les bains : que demander de plus ?
à l'amie des gourmets ....
RépondreSupprimerchère amie, si c'est si compliqué, je vais laisser tomber. j'ai une question cependant, et j'espère qu'elle n'est pas indiscrète : comment faites vous , chère amie, pour cuisiner les hommes !
A homme désespéré :
RépondreSupprimerA toi je peux bien le dire : je ne sais pas cuisiner, tout au plus déguster tous sens en éveil :)
... mon cauchemar : etre la niaise de service
ande asperge - yeux en neige, coupe au bol, et cœur de palmier - adepte des chauds bouillons, cherche une poule ou une dinde à farcir, voire même une belle cuisse de canard ou un coq en pattes, pour passer à la casserole. Sauce blanche garantie.
RépondreSupprimerCrâne d’œuf brouillé avec tout le monde et traqué par les services insanitaires cherche des poils Téfal pour se planquer. Alimentaire mon cher Watson.
RépondreSupprimerGoule enfarinée cherche vampire assoifé pour agapes morbides.
RépondreSupprimerCanard au sang envisageable.
Boucher à la reine - poivre et seul, yeux noisette, oreilles en chou-fleur - recherche poulette royale et zélée pour lui volailler dans les plumes et ébarbarer son sot-l’y-laisse. Sauce rouge à prévoir.
RépondreSupprimerFarceur invertébré et amateur de belle poitrine fumerait bien une petite pintade et son tendre croupion sans é-bréchet son cœur.
RépondreSupprimerOrphelin de Nadia (et Barbara), adorable Titeuf recherche son mime aux amateurs de disparition pour comparer leur crâne d’œuf et enquêter sur les blancs qui existent entre eux.
RépondreSupprimerMomie affamée cherche pigeon pour casser la graine.
RépondreSupprimerNoisettes à croquer se marieraient avec figue pas trop verte et juteuse
RépondreSupprimerDrame de l'intégration : ils pensaient tomber sur une crème anglaise, ils prennent le bouillon et finissent brouillés.
RépondreSupprimerA Mat et Psst : En effet, je suis moi aussi un maître-queue, mais entre la queue et le coeur, il n'y a souvent que l'R qui varie. Quant à ma cervelle, elle n'a pas sa place ici, car ma queue a ses oraisons que la raison etc. Et puis, j'ai aussi mes pinces de fer qui cachent une chair de velours. Qui saura faire exploser ma carapace et deviner qui se cache vraiment dessous ?
RépondreSupprimerPrendre une homme à carapace, qu'il soit homard ou dormeur, qu'il pince ou biaise,
RépondreSupprimerAttendre qu'il mue (de lui même)
Le voir à nu
Le caresser, le cajoler, le rassurer peut être aussi,
Etre sa seconde peau pour bien le protéger...
Lui faire confiance et se laisser aller
Ingrédients : une pintade, un chou frisé, de la poitrine, quelques Chérie, du sel, du poivre, de la crème … beaucoup de chaleur et un peu de patience.
RépondreSupprimerChoisir la pintade à son goût, mais pas trop sèche. Enlever le film protecteur s’il y a lieu. Masser avec délicatesse sa peau d’une huile parfumée et laisser pénétrer. Cette étape est fondamentale.
Effeuiller un chou frisé encore vert. Veiller à ce que la poitrine soit moelleuse et parfumée. Agrémenter de Chérie sans trop exagérer. Déposer la pintade en crapaudine sur le tout. A ce stade, faire attention à ce qu’elle ne vous glisse pas des mains. Mettre un peu de sel pour en relever l’esprit, de poivre pour pimenter la suite. Ajouter une giclée de crème fraiche, plusieurs si vous êtes sans retenue, chauffer, enfourner et attendre le changement de couleur.
Au moment voulu, prendre quelques morceaux choisis, fermer les yeux, laisser les saveurs exploser en bouche et jouir de l’instant.
A l'amie des gourmets, Ah je vois, tu me trompais donc avec tes conseils fallacieux ! tu osais me proposer des leçons de cuisine pour attendrir les chairs et les coeurs féminins, leçons très inutiles si tu ne sais pas cuisiner les hommes!Je vais demander à cette grande asperge de Barbara, si elle daigne lire mes appels sans style !
RépondreSupprimerA homme désespéré,
RépondreSupprimerCher ami,
option virage volage et vorace en faveur d'une grande légume pour mieux sauter dans sa poele à gratter ?
Que veux tu : je ne "cuisine" pas un individu que je respecte, tout au plus je le fais revenir, l'accomode, l'agrémente, l'épice, l'attendris ... le cas échéant.
Mat et Pssst présentent leurs sincères excuses à Homard chéri.
RépondreSupprimerPromis, ils s'abstiendront dorénavant de toute crudité et assaisonnement à l'emporte-pièce
Homard m'a tuer.
RépondreSupprimerCarapace à fourrer, pinces à épiler, pattes à negra et chair à canon.
Amen.
Vache qui rit pasteurisée par on ne sait quel caprice des Dieux s’est vu confier la mission d’évangéliser les olés crus pour redonner un peu de tenue aux pattes molles des vaches folles. Si tu es intéressé, inutile d’en faire des tommes : un bri de mot suffira.
RépondreSupprimerPS : possibilité de globalisation et monts d’or garantis.
Gentille petite abeille cherche ours mal léché pour goûter au miel de ses lèvres
RépondreSupprimerAmourettes adoreraient être gobées par bec fin.
RépondreSupprimerBo-barde et crapaud s'abstenir
Chère amie dégourmée, tu es un peu dévorante mais ton menu ne manque pas de raffinement. Alors d'accord, mets-moi à toutes les sauces, apprête-moi avec goût(car je suis un homme-art !)é-pattes-moi, décarcasse-moi, oui mais oh ! Pas trop vite ! Sache me désirer, m'imaginer, te pourlécher ! Et puis... me déguster.
RépondreSupprimerInjustement accusé par un crustacé à fort accent portugais d'un crime que je n'ai pas commis et assailli par les sirènes policières, j'ai résolu de fuir du côté de la Grèce pour y vivre des amours purement planctoniques et néanmoins homariques car je ne veux pas crevette dans un casier ! Doux rêveur, je t'attends !
RépondreSupprimerBlonde d' Aquitaine ch. oeuf à cheval pour monte à cru
RépondreSupprimerIntermittent s'abstenir, emploi à pleins sens
Homard Chéri,
RépondreSupprimerje ne crois pas que nous ayons été présentés : moi, animal à sang chaud, ouverte et à valeurs érotico-culinaires élevées, récemment larguée par homme désespéré en chasse de légumes fins.
Et toi ? prédateur à sang froid en couple avec crevette agile et frétillante ou bien petite sirène qui ne demande qu'à être pincée ?
Je suis perplexe et crains la couille dans le potage : ce serait fâcheux, et ne voudrais pas te mettre dans le pétrin...
:D
Barbara,
RépondreSupprimerJe suis le PRESIDENT, à ce titre , les journalistes m'adorent, je suis leur pâte molle, et ils ont de l'appétit car grâce à moi, ils vendent leurs salades médiatiques, je suis leur fromage, et toi, si tu voulais être ma cerise, croquante et juteuse, pulpeuse, nous pourrions faire un couple culinaire!
Respectueusement votre
Recette pour défilé de haute-cuisine :
RépondreSupprimerPrendre quelques pommes de terre à chair bien fermes et leur passer une robe des champs. Elles tenteront de résister en vous racontant des salades : ne vous laissez pas impressionner et n’y allez pas avec le dos de la cuiller, elles n’en perdront pas la frite pour autant.
Prendre cent yeux de merlans frits et les réchauffer à chaleur tournante, à pleine puissance. Il se peut que le poisson soit dur à cuire, auquel cas faites le mijoter encore un peu dans son jus. Sortez la truffe et laissez-vous alors guider par votre flair pour juger de votre réussite. Enfin, appuyez sur le champignon pour allonger la sauce.
C’est prêt, et vous avez maintenant une faim de loup ! Cependant, n’oubliez pas qu’il vous faudra défiler avec cette chère exquise afin d’en recevoir les compliments, et par conséquent vous serrer la ceinture. Vous pouvez néanmoins vous reposer sur vos lauriers pour enlever l’amertume.
Douée en pirouettes, anguille malicieuse cherche matelot/e agile pour plongée en mer des sarcasmes.
RépondreSupprimerGrain de sel assuré
oh barbara, mais à vous lire, je me pâme déjà à l'idée de vous proposer dans mon prochain gouvernement un haut poste, celui de la défense de l'art littéraire.
RépondreSupprimerimpossible depuis cet email de me reposer sur mes lauriers, j'ai même envie de descendre au plus vite dans mon jardin pour y cueillir du romarin... vous chatouillez mes bourgeons de poète.
Quelle clairvoyance électorale,vous avez ! Je vais faire de la purée et écraser ces patates. Et ne croyez pas que je sois pâte à me la couler douce, les merlans frits avec la chaleur, seront bientôt immangeables. Pas question de laisser à une marinade prochaine, les arêtes du pouvoir.
Vos prochaines recettes seront validées au journal officielle de la cuisine présidentielle.
Votre Président bien aimé
Mie tendre mais pas mollette, ch. crâne d'oeuf ouvert pour mouillette improvisée
RépondreSupprimerma mie, j'ai une cervelle d'oiseau et un coeur d'artichaud, mais ce serait bien doux d'imaginer quelques mouillettes improvisées,mais pas à la cuisine du Sofitel, car j'imagine que tu as déjà un répertoire lexical bien trempé pour que nous vocalisions dans mon nid, des annonces de cuisine tropicale ! qu'en dis tu, ma mie
RépondreSupprimerA la banane ! et pourrait avoir envie de la "croquer" par les deux bouts :D
RépondreSupprimerGrosse légume, tout frais sorti du panier à salade, cherche cheffe de brigade gauloise et pas trop gauche pour sa révolution de palais
RépondreSupprimerCher serin volatile : J'étais toute prête à t'effeuiller l'archi-chaud dans ton nid d'hirondelle délicieusement potache, mais je mitonne de constater que tu te laisses aussi absorber le suc par Mie Câline ! Décidément avec toi, on ne peut qu'être mi-fugue, mi-résignée.
RépondreSupprimerPâte pressée s'allierait volontiers à cerise noire pas trop confite
RépondreSupprimerPâte molle succomberait sans hésiter à noix (de Grenoble de préférence),
Et pour son premier essai, bleu fleuri se marierait à petite poire moelleuse
Contacter gourmand-gourmet.com
cher volatile,
RépondreSupprimertendresse acquise pour un rare dodo, un oiseau de paradis ou un cordon bleu (à joue rouge) ; exclue pour un vague coucou ou un serin à mie-dînette exclusive ; essai à tenter pour zizi bruyant avant de conclure.
Que veux tu ... j'aime assez prendre les choses en mains, et vice versa
Dame blanche rencontrerait colonel pour échanges de saveurs et intrigues de palais. Ambiance givrée garantie
RépondreSupprimerMoutarde s'abstenir
mie câline et mie dînette, quand il y en a pour deux, y en a pour trois, certes on peut toujours tomber du nid. Personnellement, je veux bien me faire plumer, au point où j'en suis, me faire dévorer aussi, n'étant pas prédateur de naissance. Et puis, je fais la vaisselle aussi, et là, suis je encore au menu, j'ai entendu dire qu'on préférait les vautours???
RépondreSupprimerChaud lapin rencontrerait coeur d'artichaut pour tambouille sans chichi
RépondreSupprimer@ volatile,
RépondreSupprimerpas de prédateur ici, juste une colombe maladroite et solitaire en Réunion ...
Dodo
Virtuose du piano cherche langue de rossignol pour (en)chanter son palais.
RépondreSupprimerA mie câline : Faisons à mie amies plutôt que de jouer à pince-mie et pince-moi. Ce drôle d'oiseau vaut(dé)tour, à tour de drôle ou ensemble, surtout s'il fait la vaisselle. Alors on se lance dans la poli-gars-mie ?
RépondreSupprimercher volatile,
RépondreSupprimerje reconnais bien là ta générosité : jusqu'à faire don de ta plume !
A Mie-Dînette,
RépondreSupprimerOK pour partager les délices d'un crâne d'oeuf pas trop obtus, mais de toi à moi, je m'en bats la mie qu'il fasse la vaisselle, sait il seulement dénouer l'aiguillette et dresser la table avec délicatesse ?
Mie-Dînette,
RépondreSupprimerEstomac barbouillé et valeurs en berne, je me retire avant la farandole des desserts. Qu'il soit serin, oiseau de basse cour ou dindon de la farce, je ne puis me résoudre à croquer le marmot sans qu'il ait son mot à dire. A deux contre un, la balance semble peu équitable, ma mouillette improvisée vire aux imams évanouis et profite et rôles peu flatteurs s'ouvrent à mon coeur défendant.
Grain de riz sauvage accompagnerait volontiers souris au tendre gigot pourvu qu'en elle tout sourie. Du curry parfumé oserait le colori si elle lui demandait, et plus encor pour ne pas être marri.
RépondreSupprimerCher Président,
RépondreSupprimerRavie de faire partie de votre gouvernement et de promouvoir la défense du lard littéraire. Cependant, je dois vous mettre en garde : en tant que vache - même riante - je crains d’occuper plusieurs sièges à l’assemblée. Pas grave, mon avis pèsera plus lourd dans la balance, et nous pourrons plus aisément tirer la sonnette d’alarme avant que les carottes ne soient cuites. De plus, vous avez tout compris, c’est de la viande fraîche qu’il vous faut car il y a du pain sur la planche pour éradiquer les bonnes poires, les fruits pourris jusqu’au trognon, et autres légumes mous du bulbe. Nous pourrons en faire une grande fondue monétaire internationale et nous délecterons ainsi des fromages et intérêts. Objectif : devenir les plus riches en matières grasses !
Manquent quelques cibles à notre belle vachette pour faire son ragout électoral : conservateurs en tout genre, sauces à poison, sans compter de fumeuses huiles pour marquer les liaisons contre nature ou les flans décorés de chantilly lubricitueuse
RépondreSupprimer"vraiment ... tout cela n'est pas sérieux, surout pour ceux qui - comme moi (et ils sont nombreux) sont attachés aux valeurs de la vraie cuisine érectorale"
Chère Barbara,
RépondreSupprimerCher Président,
Alors adieu poireaux bien dressés, courges enflées, carottes mutines, concombres en folie, Chéries à déguster, Cornue des Andes, figues juteuses, abricots moelleux, sucres d'orge au top, tablettes de chocolat et autres délices qui enchantent le palais ?
je me meurs
Chère ministre de la haute culture Barbara, une vache rieuse à l'Assemblée, je m'en réjouis, elle donner quelques coups de sabots bien mérités à ces pieds nickelés qui me caressent et me broutent , et puis je vais rire de les voir tenter de vous tirer les pis,
RépondreSupprimerlourd de fiel à leur égard, ils tenteront de vous mettre au pré....
Au petit Niko, à Bio romantique et au Président :
RépondreSupprimerFigurez-vous que je suis copine comme cochon avec les conservateurs en tous genres ; de même avec les adjuvants, les cols au rang et les bananes en chemises ; en revanche, les cravates au lait de coco, très peu pour moi. N’oubliez pas que je suis pasteurisée, je combats le côté obscur de la corse, bien trop malodorante à mon goût. Nous redevenons des sauvages, et la civilisation a besoin d’un coup de fouet pour combattre le bio à l’arôme antique qui cherche à nous rouler dans la farine ! Aujourd’hui, tout va d’animal en pis, ce qui est bien trop terre-à-terre. Visons plutôt les paradis artificiels !
Mademoiselle Barbara,
RépondreSupprimerVotre programme me souffle : vous avez su toucher la corde sensible. Je m’imagine déjà batteur équipé de fouets tout dernier cri à fourailler les dits oeufs qui me décalottent à l’envie dans les jardins de l’Elysées, me gonflent de tartes, macarons et beignets en tous genres à l’Assemblée, dégoulinent de cons en friture qui attendent que je leur serre la papatte tels des toutous en guimauve molle. Si vous saviez comme j’en bave à vouloir séduire sans cesse la moule à force de régimes bananiers ! Un seul obstacle à notre état de graisse : je crois bien que j’ai laissé un lardon dans le buffet de ma cocotte.
Artificellement vôtre
allons petit nicolas; fouettez cette engeance crémeuse au sang, n'en faites pas une salade
RépondreSupprimerDéjà que la pourriture est en train de gagner la cuisine présidentielle, donnez les bonnes méthodes pour faire une vraie crème renversée, afin de retrouve le bon sens démocratique, car feuilles de chou ne valent plus rien !
Fred, quelle annonce musicale ! ta promesse d'enchanter mon palais me séduit, et je chanterai haut et fort, si tu pianotes une partition épicée capable de relever la sauce ! donne moi juste le thon !
RépondreSupprimerGrain de sel cherche sa fleur pour relever son quotidien.
RépondreSupprimerFine fleur de (f)roman cherche poivre et sel pour épate feuilletée.
RépondreSupprimerpetite fleur immortelle n'a pas son pareil pour agrémenter les jours et les nuits de ceux qui ont besoin d'agréments mais que vais-je devenir si je me livre à des salaisons ?
RépondreSupprimerA Rossignol
RépondreSupprimerPuisque tu le souhaites, mon piano dansera pour toi ; d'épices exotiques te parfumerai,avec art te relèverai. Lentement mes doigts d’artiste consommé te déshabilleront pour mieux te savourer. Avec comme point d’orgue un opéra.
Petite brioche dorée recherche barre de chocolat pour conception de petits pain
RépondreSupprimerCarré d'agneau qui ne tourne pas rond cherche hypothénuse et sel de table (de multiplications) pour s'encroûter à l'infini.
RépondreSupprimerMousse au chocolat recherche mât-scarpone pour jeter l'encre de seiche à bon porc !
RépondreSupprimerA cuisinier révolutionnaire,
RépondreSupprimerCamarade, te propose grande bouffe sans chichi ni salade, sauce hollande ou royale au besoin, lardon à l'italienne, niniche à la hongroise avant de savourer les plaisirs rares d'une mise à plat des services de l'état. Et puis si l'envie nous fouaille, pourquoi ne pas ouvrir la valse des étiquettes et diplomates en tout genre, financiers à la noix de coco et autres suceurs de moelle ?
Jacquot, ex chef de brigade, un poil toqué
A amateur de tête et cuisinier révolutionnaire : C'est pas Joly Joly, tout ça, c'est même c-hulot-té !
RépondreSupprimerA carré d'agneau : Spaguetti désordonné et curviligne s'entortellinirait bien autour de toi. Aucun problème d'absinthinence, je suis assez salée pour te faire tourner la tête.
RépondreSupprimerA verdure,
RépondreSupprimermais cela coule de source ...
Tendre carré,
RépondreSupprimerni obtuse, ni aigue, pas vraiment ronde, mais en formes harmonieuses, une fleur à protéger ou à savourer te siérait-elle ? de son parfum t'enivrerai sans pour autant te donner soif jusqu'hal-la-li(e).
Flora Cucurbita Pepo
Minou, un poil farouche, ch. Matou, pas trop louche, pour langue de chat e.otique
RépondreSupprimerA Capitaine Haddock'nroll,
RépondreSupprimernous sommes faits pour nous entendre, à nous crème de la mer et farandoles en folie !
Mamie Bossa Nova
Bombe glacée ch. doux feux de l'amour pour fondre de plaisir.
RépondreSupprimerLapin chasseur cherche fraise tagada pour accrocher perles de sucre scintillantes aux étoiles filantes
RépondreSupprimerA spaghetti tortueux et torturé,
RépondreSupprimerChair à canon torride cherche raviole glacée à truffer de picotements pour show-froid à réveiller les pain-gouines mielleuses.
Périmètre (mal) élevé au cube recherche grande surface à piles pour gonfler ses babines et électriser les courses.
RépondreSupprimerJack Caddie s'est fait prendre la main dans le sac à roulettes russes ! Rançon de la gloire et otage au désespoir.
RépondreSupprimerRecherchons poignée de petites bourses pour avaliser la libération. Coupures recommandées. Rupture imminente.
Très cher, je suis ton canon, al dente, ardente et ravie au lit, et ne dirais pas non à un encas picoti picotant pourvu qu'il ne s'en aille pas tout de suite après avoir levé la queue, car je ne pratique pas la course de "fonds au man-éther". Prenons donc le temps d'incuber pour mieux nous élever !
RépondreSupprimerPassive passoire passionnément pacifique (pas si sûr !) pasteuriserait patiemment - ou pas -une pasta passiflore dans Passat passéiste pour passade passe-partout. Pas de passe-droit pour passagère passible de passing-shot et passerelle sans passeport pour passereaux passablement passionnés de pastèque !
RépondreSupprimerPasta troppo passionata pour se laisser pasteuriser l'appât par une passoire passant trop vite ! Passe encore une passade dans un palace pas trop salace, mais alors pas de salades ni de pastaga pour s'enlacer et se trousser sans se détrousser à la Kama Sutra.
RépondreSupprimerTourterelle cherche tournebroche
RépondreSupprimerDoté d’un bon tour de main
Pour d’un tournemain
L’entraîner dans le tourbillon de sa vie
Et lui donner sans façon le tournis
De tour en tour,
De détours en alentours
Lui faire sa cour
Et pour finir tour à tour
Du simple contour au dépôt d’atours
Tourte belle cherche bouche en co(e)ur
Gros piment rouge cherche grande poêle à frire pour enflammer la générosité gustative de l'amour et enflammer les coeurs culinaires. Poele tout feux acceptée. Pas besoin de revêtement spécifique non plus. RENDEZ VOUS AU RESTO DU COEUR. REPONSE URGENTE
RépondreSupprimerPâte à brick, craquante à souhait, cherche Chef le Pat à croquer. Craques acceptées, si - et seulement si - trique et toque sont de bon niveau.
RépondreSupprimers'adresser à croque-en-bouche@cracboumhue.net
Spécial comique,
RépondreSupprimerte propose départ pour Cythère via Erythrée, Somalie et autres terres inconnues propices à don de soi... cuisine simple et généreuse exigée. urgence absolue : seras tu au RDV ?
Pourquoi vouloir partir avec comique dans la corne de l'Afrique pour un dernier festin ? La -bas personne ne rit et il y a longtemps que la cuisine du FMI ne fricotte aucune fricassée avec les os et la chair, il manque l'amour à l'intérêt économique des recettes juteuses pour l'économie...Cosmique pourquoi ne pas proposer à Sarko une visite gastronomique pour son futur régime présidentiel ?
RépondreSupprimerCher(e)? Realitik,
RépondreSupprimerà quoi bon les galas et autres festins, cuisines élaborées et raffinées si l'amour d'autrui n'est pas au rendez vous ? Comique prétend au resto du coeur, Cosmique au coeur et au partage avant tout, au-delà des maux. Petit Sarko est embourbé en Afghanistan, en Lybie, qui sait demain en Syrie ... là où l'or est noir, là où l'on découvre soudain que les hommes ont des droits, mais le premier n'est il pas de manger chaque jour ? Qu'avons nous fait de nos surplus, tous, autant que nous sommes, spectateurs de cette tragédie, l'ignorant quand bon nous semble ?
Belle Hélène cherche bonne poire pour plaisirs tout en douceurs.
RépondreSupprimertoutes les poires sont pourries , vu le temps et la politique !
RépondreSupprimerToutes pourries ? je veux croire qu'il en existe une qui ne soit pas pourrie ni trop gâtée ... juste une, bonne au goût et pour elle, l'attente en vaut la peine.
RépondreSupprimerT'es sûre, Mamie ? La tante Athena en vaudrait donc la peine !
RépondreSupprimerDis voir, tu serais pas un peu trop poire pour une Reine ?
Granny, le cousin germain de Smith, est tombé dans les pommes :
"Feta valise faux-frère de grec, rembourse la somme !"
Dix visions européennes pour une soupe de trémolos.
Idem pour l'oncle Sam : ça sent la fin des haricots.
L'attaque de la moussaka géante était pourtant annoncée... (*)
Mais non, la famille a préféré gloutonner sans compter.
La cuenta, por favor ! Vous prenez les dettes, garçon ?
La famine, mi amor ! Vous étalez la faim sur plusieurs générations ?
Au banquet du monde, Lagarde meurt mais ne se rend pas.
Maman, les petits gâteaux qui sont pas beaux sont-ils à moi ?
Mais non, mon gros bêta, si tu as faim, vole ton voisin !
Etats soeurs ? Elle se meurt ... la solidarité,
mi-figue mi-raisin.
(*) : L'attaque de la moussaka géante est un film (visionnaire ?) grec sorti en 1999.
La belle Héllène nous a pris pour des poires. Elle s'est engrecée et nous voilà chocolats !
RépondreSupprimerDe Paris, Hèlène n'attend rien d'autre que la discorde, pommes à l'appui, si vertes et trop acides à son goût.
RépondreSupprimerPersiste à chercher douceur et prête à fondre pour qui saurait ne pas confondre Antique et Bel Canto.
Petit chou cherche religieuse pour l'Honorer en un éclair.
RépondreSupprimerOFFRE DE PRÊT D'ARGENT RAPIDE
RépondreSupprimerNous proposons un crédit issu d’un système collaboratif. Vous avez besoin d’un crédit,
mais avez- vous du mal à obtenir un emprunt auprès des banques ? Ou aimeriez profiter
de conditions plus avantageuses ?
Eh bien nous disposons d'un prêt allant de 1500€ à 25.000.000€ avec un taux d'intérêt fixe de 2%.
Vous avez besoin de faire un prêt :
* Personnels
* Financement
* Immobilier
* L'investissement
* Automobile
* Dette de consolidation ...
Obtenez Votre Crédit est là pour vous aider !
N’hésitez plus et faites une simulation pour trouver la solution crédit adaptée à vos différents besoins.
Pour plus d'infos
Réponse rapide : ducoeurliliane@gmail.com
Personne pas sérieux s'abstenir